Sous le charme
Depuis dix ans maintenant, Sex in the City est une des attractions vedette du festival Solidays. Ils ont vécu l’expérience…
Antoine de Caunes, président d’honneur de Solidarité Sida
« Depuis quelques années déjà, il est une attraction de Solidays devant laquelle s’allonge rituellement une queue curieuse et impatiente.
À juste titre puisqu’il s’agit de Sex in the City, l’expo éphémère qui explore sans feinte pudibonderie ou tabou mal placé, la riche et foisonnante planète de la sexualité.
On y apprend plein de choses, notamment le lien étroit entre plaisir et danger, ou encore comment éviter les comportements dits à risques, ceux-là mêmes qui permettent au virus de se propager comme le fait un vulgaire feu de forêt.
C’est ludique, effrayant, polisson et édifiant, et l’on en sort certes un peu secoué – ébranlé, serais-je tenté de dire – mais avec l’impression d’être un peu moins ignorant dans un domaine où l’on croyait pourtant tout connaître.
Bonne nouvelle : Sex in the City débarque en ville. À Paris d’abord, avant de partir à l’assaut de la province. Et très symboliquement, c’est à la Bastille que nous nous installons.
Vous pouvez venir sans culotte. Mais couverts ».
Mc Solaar, parrain de Solidarité Sida
« Je me suis aventuré dans les dédales de l’Expo Sex in the City du festival Solidays, et j’y ai beaucoup appris.
L’expo est didactique, fun, plaisante, utile. Elle répond de manière ludique et sans tabous aux questions des jeunes et moins jeunes.
On en sort instruits et… comblés. C’est un véritable voyage… un passeport pour l’éveil des sens… ».
Maitena Biraben, marraine de Solidarité Sida
« L’expo Sex in the city, c’est pédago, tout est dit, tout est montré, mais à tout moment quelqu’un est présent pour vous aider à comprendre ou dédramatiser. Plus étonnant; c’est informatif y compris pour les vieux briscards qui pensaient pourtant avoir une sexualité délurée !
C’est fou le nombre de choses que j’ai apprises ou mises au clair grâce à l’expo !
C’est aussi une bulle, dans laquelle on peut parler. Poser ses questions, celles qui nous font sentir idiot, dont on pense qu’on devrait déjà avoir la réponse.
On sort de là tranquillisé. Apaisé. »